Un marché français des Véhicules Particuliers mature, de renouvellement et non d’expansion |
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Un parc automobile français constitué d’environ |
± 35 000 0000VP |
Un renouvellement annuel de véhicules neufs de |
± 2 000 000 VP |
Un renouvellement annuel de véhicules d’occasion de |
± 5 000 000 VP |
Une mise en destruction annuelle de |
± 1 500 000 VP |
Un nombre annuel de déclaration de sinistres de |
± 4 000 000 VP |
Un nombre annuel d’accidents potentiellement réparables avec de la PRE de |
± 2 700 000 VP |
Compte tenu que l’âge moyen du parc automobile en 2021 frôle les 11 ans et que deux-tiers du parc a plus de 6 ans, 2.700.000 sinistres sont potentiellement réparables avec de la PRE.
L’arrêté ministériel du 29 avril 2009 qui a promu le développement de ce marché de la PRE, en incluant son usage dans l’estimation du coût des réparations, n’a pas échappé aux compagnies et mutuelles d’assurance qui ont lancé des expérimentations dans la réparation-collision dès 2010.
Le marché de la pièce de réemploi (PRE), représente plus de 2,5 millions de pièces d'occasion (source de La Tribune Auto) et ne représente qu'à peu près 2% du marché nationale de la pièce de rechange.
La PRE trouve son fondement idéologique dans les réponses qu’elle apporte aux trois grandes priorités nationales :
- Environnementale : cette PRE est indispensable pour obtenir le taux de recyclage imposé par la directive Européenne sur chaque VHU. Elle permet aussi de réduire le taux de CO² par la prolongation de la durée de vie de celle-ci.
- Economique : par la réduction du coût du sinistre et de la maintenance elle permet de maintenir en état le parc automobile français.
- Sociétale : le traitement d’un VHU en France ne peut être effectué que par un « centre VHU agréé », l’emploi qu’il génère ne peut pas être délocalisé.
« Ecologique et Economique, la PRE répond totalement aux objectifs d’une véritable économie circulaire »
Président GLOBAL PRE